Propositions de breves

Novembre 2023

1922 Emile Alexandre Le Gloahec

En avril 1922
Émile Alexandre le GLOAHEC , du bourg de Saint-Pierre Quiberon, (neveu du fameux Célestin  le GLOAHEC, Maire de Saint-Pierre-Quiberon) a été jugé et acquitté à l’unanimité

 Proposé par Anne Affagard 

1899 un bataillon d'artillerie

Gravure de Penthièvre  issue d’un livre “Paysages et Monuments de la Bretagne ” 

12 et 13 ème livraisons  : Auray-Quiberon 

 Edité en 1889  

Article et gravure proposés par Jöel Le Nouen

La crêperie du Kerdavid, en 1900

 La maison abritant actuellement la crêperie du Kerdavid, vers 1900 (Photo collection Rivière)

 La petite crêperie du Kerdavid au bord de la départementale, a conservé de nos jours un aspect très proche de celui de sa construction (voir photo), on se souvient dans les années 1940 que la famille qui y vivait était constituée de 7 personnes dans ce petit logis. La partie de droite était destinée à la vache et au chochon. Les enfants dormaient à l´étage sur de la paille et les parents en bas dans un lit clos. Se souvient Jo Le Bourgès, né en 1931.

Proposé par Gaël Le Bourgès 

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Décembre 2023

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titre

texte 

La baie de Quiberon première terre à reconnaitre les Etats-Unis d’Amérique

John-Paul JONES
Toussaint de La Motte Piquet
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Ce sont les caprices de la météo qui ont conduit l’émissaire des Etats-Unis d’Amérique, Benjamin FRANKLIN à Saint-Goustan, le 4 décembre 1776. Il venait chercher le soutien de la France auprès du roi Louis XVI à la déclaration d’indépendance des treize colonies américaines.

Le 6 février 1778, le royaume de France signe un traité d’alliance avec les États-Unis.
L’escadre française croise en baie de Quiberon pour faire face à la menace de la flotte anglaise toujours présente.
le 14 février 1778, un sloop armé de 18 canons « l’USS RANGER » commandé par le capitaine John-Paul JONES croisant en baie de Quiberon salue l’escadre française de treize coups de canon. L’amiral La MOTTE-PICQUET, à bord du ROBUSTE, un vaisseau de 74 canons, répond par neuf coups.

« L’USS RANGER » ce jour-là arborait à sa poupe un pavillon composé de sept bandes rouges et six bandes blanches et d’un canton supérieur orné de 13 étoiles sur fond bleu. Il s’agit de la première bannière étoilée, The Stars and Stripes, que la jeune nation américaine a adoptée le 14 juin 1777. C’est la première fois que le drapeau américains à droit aux honneurs militaires d’un autre pays.

Proposé par Jean-Louis Guého

Le figuier de Penthièvre

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Savez-vous pourquoi, il y a un figuier à la sortie de Penthièvre direction Auray, juste avant les 2 ronds-points ?

Ce figuier est très ancien et était à côté de la propriété du Garde Forestier à la sortie de Penthièvre.

Et voici une carte postale représentant sa maison.

La  maison a été rasée, mais le figuier a survécu ! Savez-vous pourquoi, il y a un figuier à la sortie de Penthièvre direction Auray, juste avant les 2 ronds-points ?

 Proposé par Gaël Le Bourgès

De galettes en galettes

Bien avant de proposer des galettes de sarrasin, la maison qui abrite l’actuelle crêperie du Kerdavid au bord de la départementale, a longtemps utilisé sa facade pour sécher et stocker des galettes de bouse de vaches ! Ces galettes étaient séchées dans un premier temps sur l’herbe, puis placées (ou plus précisément pliées) sur une barre de bois (visible sur la photo), elle-même tenue par des os de porc fichés dans la facade de la maison. Ces os de porc sont encore partiellement visibles de nos jours. La presqu’ile ayant peu de bois à disposition, ces bouses étaient utilisées comme combustible. Se souvient Jo Le Bourgès, né en 1931 »

 

Légende de la photo : Barre de séchage posée sur des os de porc en facade, vers 1900 (Photo collection Rivière) »

 

photo La maison abritant actuellement la crêperie du Kerdavid, vers 1900 (Photo collection Rivière)

Beauté féminine

Après la guerre, les jeunes filles de Kerhostin, mais peut-être d’ailleurs aussi, allaient ramasser le chiendent pour en faire des brosses pour les cheveux.
Il paraîtrait que lorsque l’on utilisait ces brosses, les cheveux étaient plus beau et plus touffus.
Elles le valaient bien (aurait dit L’Oréal)…

Les os dans les murs

Il n’est pas rare en Bretagne, mais également dans d’autres régions, d’observer des os dans les vieux murs de pierre. Michèle MADEC de l’hôtel LE BRETAGNE nous en a parlé à l’occasion de travaux dans son terrain à la demande d’un voisin qui considérait que le mur était mitoyen. Or, après la visite d’un expert, celui-ci lui assura de l’entière propriété de son mur.

Qu’en est-il ?

Tuteurs

Après enquête, il semble qu’il s’agisse d’une pratique courante en Bretagne aux 17ème, 18ème et 19ème siècle. Disposé en rangs à des hauteurs différentes, parfois en quinconce, ce sont des os de porcs, de veaux, ou plus souvent de moutons. Ils servaient de tuteurs pour des rosiers, des arbres fruitiers ou des vignes… plantés au pied des murs. 

Les os dans les murs , suite

Peut-être auraient-ils également servi à soutenir les écheveaux de chanvre que l’on mettait à sécher, voire pour le ramendage des filets. Les os sont fichés dans la maçonnerie sur 2 ou 3 lignes parallèles à des hauteurs différentes. Les anciens les choisissaient car plus résistants que le bois et préférables au métal qui rouille, laisse des traces inesthétiques et finit par provoquer l’éclatement de la pierre. Mais il ne s’agit pas de leur seule fonction

Marques de mitoyenneté

Il semble que leur présence définissait la mitoyenneté d’un mur. Si par hasard, lors de travaux, on en retrouve à l’intérieur d’une maison, ils nous indiquent qu’il s’agit à une autre époque, d’un mur extérieur. En droit immobilier : “l’os dans le mur est ce que l’on appelle une présomption de preuve pour savoir à qui appartient un mur mitoyen”.

Drains

Autre utilité et non des moindres, coupés et fixés au mur, ils servaient de drain contre l’humidité et surtout constituaient, pour beaucoup d’édifices prestigieux, une technique de construction répandue comme en attestent les publications anciennes sur les agrafes ou le scellement des pierres. On retrouve dans le très sérieux Bulletin de la société d’encouragement pour l’industrie nationale, n° LXVII, janvier 1810, un article dont voici un extrait : « On a donc pensé avec raison que les os, qui résistent à de grands efforts dans l’emploi de la force des animaux dont ils sont la charpente, réuniraient pour agrafes la solidité à l’inaltérabilité. …..La solidité qu’ils conservent encore prouve que l’emploi des agrafes en tibia de boeuf réunit à la force une inaltérabilité à l’épreuve du temps. A Saint-Martin, en l’île de Ré, à la Rochelle, plusieurs ouvrages à la mer ont été construits de même. Tous ces ouvrages sont encore intacts, et les parements sont dans le meilleur état possible ».

Étranges donc, ces murs à os, mais plein de sens et surtout du bon sens de nos anciens.

 Jean-Claude MARTIN

Pas de femmes sur un bateau!

Dans mon tableau, j’ai transformé le personnage central en femme. Dans les années 30, il était encore interdit aux femmes de monter sur des bateaux de pêche. La loi datait de Colbert : interdiction aux femmes de monter sur les navires marchands, les navires de pêche et de guerre.

Une femme de Royan, Sonia de Borodesky, s’est battue dans les années 50/60 pour faire abolir cette loi. Plus d’info ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sonia_de_Borodesky

 

David Affagard

Goéland

 Je vous propose un peu de poésie. Une des très rare carte dessinée et peinte à la main par le barde Dir na Dor et un bien joli texte d’Auguste Brizeux . Joël Le Nouën 

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