Toutes Les BREVES DE 2023
Décembre 2023
Marée de mars 1900
Un figuier centenaire
Savez-vous pourquoi, il y a un figuier à la sortie de Penthièvre direction Auray, juste avant les 2 ronds-points ?
Ce figuier est très ancien et était à côté de la propriété du Garde Forestier à la sortie de Penthièvre (en Plouharnel) .
Et voici une carte postale représentant sa maison.
Proposé par Gaël Le Bourgès
De galettes en galettes
Bien avant de proposer des galettes de sarrasin, la maison qui abrite l’actuelle crêperie du Kerdavid au bord de la départementale, a longtemps utilisé sa facade pour sécher et stocker des galettes de bouse de vaches ! Ces galettes étaient séchées dans un premier temps sur l’herbe, puis placées (ou plus précisément pliées) sur une barre de bois (visible sur la photo), elle-même tenue par des os de porc fichés dans la facade de la maison. Ces os de porc sont encore partiellement visibles de nos jours. La presqu’ile ayant peu de bois à disposition, ces bouses étaient utilisées comme combustible. Se souvient Jo Le Bourgès, né en 1931.
Novembre 2023
1922 Emile Alexandre Le Gloahec
En avril 1922
Émile Alexandre le GLOAHEC , du bourg de Saint-Pierre Quiberon, (neveu du fameux Célestin le GLOAHEC, Maire de Saint-Pierre-Quiberon) a été jugé et acquitté à l’unanimité
Proposé par Anne Affagard
1899 un bataillon d'artillerie
Gravure de Penthièvre issue d’un livre “Paysages et Monuments de la Bretagne ”
12 et 13 ème livraisons : Auray-Quiberon
Edité en 1889
Article et gravure proposés par Jöel Le Nouen
La crêperie du Kerdavid, en 1900
La maison abritant actuellement la crêperie du Kerdavid, vers 1900 (Photo collection Rivière)
La petite crêperie du Kerdavid au bord de la départementale, a conservé de nos jours un aspect très proche de celui de sa construction (voir photo), on se souvient dans les années 1940 que la famille qui y vivait était constituée de 7 personnes dans ce petit logis. La partie de droite était destinée à la vache et au chochon. Les enfants dormaient à l´étage sur de la paille et les parents en bas dans un lit clos. Se souvient Jo Le Bourgès, né en 1931.
Proposé par Gaël Le Bourgès
Octobre 2023
1768 un Tabernacle à la chapelle de Saint Pierre
Avant la séparation officielle de la presqu’Ile en deux communes distinctes en 1856, après une bataille de dix années, dès 1768 les paroissiens de Saint Pierre firent une requête à l’Evêque de Vannes afin d’avoir en la chapelle de Saint Pierre le saint sacrement, arguant de la difficulté de se rendre à l’église de Locmaria au bourg de Quiberon.
J’ai trouvé dans des archives paroissiales [BMS] de Quiberon, la copie de cette requête faite et actée devant notaire le 26 septembre 1768
Photo de l’ancienne église de Saint-Pierre Quiberon
[AD 56 – QUIBERON – BMS 1730-1772 vue 665 à 669]
Proposé par Jean-Louis Guého
Archéologie moderne
Un jour, nous dit Jackie FRANCELET, je vois Chantal s’armer d’une poêle à frire, non pas l’ustensile mais l’engin qui détecte les métaux, et se mettre à chercher à proximité de sa cuisine dans la villa « Les Capucines ». Et elle a trouvé l’emplacement où était enfouie la voiture de Maître FILY. Cet original qui avait été marchand de biens à Lorient après la guerre de 1914 avait une magnifique Torpedo. Et surtout il voulait que personne n’en hérite, donc il l’a enterrée dans le terrain de sa villa. Étonnant…
Proposé par Jean-Claude Martin
En 1681: les dangers de la pêche au goémon
Mai 1861 Extraits du registre paroissial de Locmaria signé par JeanLe Toullec, vicaire perpétuel de Quiberon. Deux morts les 30 et 31 mai 1681
Proposé par Dominique Hillion
Septembre 2023
Juin 1907: LA solution ! les matelas en varech
Proposé par Dominique Hillion
Origine de la dénomination du « Port d’Orange »
Parmi toutes les hypothèses évoquées le souvenir d’une “descente” d’une flotte Hollandaise [1] pendant la guerre de Hollande au XVIIe siècle (1672-1678) à Belle-Ile et Quiberon ayant abordés sur la cote de la presqu’ile.
Ou encore, l’échouage en 1681, sur cette même côte, d’un navire marchand malouin baptisé « Prince d’Orange ».[2]
Autre explication, est le souvenir d’une opération de Jean de Chalon-Arlay (1463-1502) prince d’Orange [3] neveu du duc de Bretagne François II, cousin germain d’Anne de Bretagne qui menait campagne pour le compte du duc contre les troupes du roi Charles VIII qui occupaient le pays d’Auray et la presqu’ile, de là à dire qu’il débarqua dans l’anse côtier formé entre Kxaud et Kermahé…
A l’origine du futur village de Saint Pierre, il semblerait qu’il y eut un village « perdu » vers 1679 dénommé Kernevez ou Er Gernevez, en français “village nouveau”, nom des quelques habitations qui s’installent, entre les hameaux de Keraud et Kermahé autour du Port d’Orange et qui prendra jusqu’à la Révolution le patronyme de la chapelle Saint Pierre et ensuite de la nouvelle paroisse en 1868.
La chapelle primitive dédiée au prince des apôtres, Saint Pierre, existe au moins depuis 1730 elle est érigée à l’écart des villages bâtit sur une hauteur [+ 10m] orientée face au soleil levant. A partir de cette année les inhumations des personnes des villages avoisinants sont enterrés dans l’enclos de la chapelle.
[1] En 1672 Guillaume d’Orange est nommé à la tête des Provinces-Unies
[2] Source Dominique Hillion– Le Télégramme 2010
[3] La maison de Chalon-Arlay est aussi dite maison d’Orange-Chalon après le mariage en 1386 de Jean III de Chalon-Arlay avec la princesse Marie des Baux-Orange.
Proposé par Jean-Louis Guého
Victor HENRIO
C’est un oncle d’Yvette Henrio, nommé Victor Henrio, qui a été le premier mort en 1940 sur la presqu’île, avant l’arrivée des Allemands. C’est lui qui a « sauté » au Fort Penthièvre en immergeant les munitions de la presqu’ile, qui ont explosé pendant cette opération, afin d’empêcher les troupes allemandes d’en prendre possession. Yvette se souvient très bien de ce jour. Mélanie veuve de Victor a saboté le bateau de son mari pour que les Allemands ne puissent pas s’en servir.
Sur la photo : Melanie et Victor sont debout à droite.
Extrait d’entretien d’Yvette Henrio par JL Guého et Marc Coppolani
Eté 2023
Origine du nom « rue du Gouvello »
Er GOUVELLO : Nous trouvons dès 1679 la mention d’er gouvello en Kerdavid – er gouveleu ou encore er govéleù. Nous pouvons penser au mot breton govel = la forge, gouveleu = “les forges”, mais il n’en reste ni vestiges, ni souvenir et en cet endroit coulait un ruisseau dit : er roué [devenu « le ouarh »] qui alimentait un lavoir !
Il existe dans la commune de Sainte Brigitte [Morbihan] un hameau dénommé « Govello » où en 1566 les sires de Rohan avaient installé une fonderie sur des vestiges antiques.C’est aussi un nom de famille.
D’ après Gildas BERNIER – Mémoires sur l’étude des noms de la presqu’Ile -1942
Jean Louis Guého
Comment gagner (ou perdre) au tennis
Lorsque l’on a refait les tennis à Penthièvre, nous raconte Xavier MAUGIS, j’arrive en avril 1984, et je vois qu’ils allaient les tracer Est-Ouest. Je me précipite voir M LEBAIL l’adjoint aux travaux et je lui dit qu’il faut les tracer Nord-Sud, à cause du soleil levant ou couchant qui défavorise (ou avantage) le joueur mal placé. On voit encore les dalles d’angle qui sont posées pour un terrain orienté Est-Ouest
Propos recueillis par Jean-Claude Martin auprès de Xavier Maugis , fondateur de l’AREP
Billes de terre contre billes de verre
Jackie aimait les jeux de garçons, et notamment les jeux de bille où elle excellait. Certains de ses camarades avaient des billes en verre qui suscitaient son envie. Alors Jackie fabriquait ses billes. Avec ce petit bout de sable qui sort là où sont les vers sur la grève, en les roulant entre ses doigts, puis en les faisant sécher sur la cuisinière de sa grand-mère, et enfin en les frottant avec de l’herbe et des bleuets elle arrivait à échanger 10 de ses billes en terre contre une bille en verre. Elle en a rapidement eu une vingtaine.
Propos recueillis par Jean-Claude Martin auprès de Jackie Francelet de Penthièvre
Juin 2023
Les souliers rouges
La jeune fille, alors âgée de 10 ans, était toute contente d’avoir en cadeau de jolis souliers rouges vernis. Quelle fierté de pouvoir marcher dans les rues de Saint-Pierre avec ses souliers rouges. Malheureusement le destin allait en décider autrement…
En ce mois de Mai 1970, la grand-mère de cette jeune fille décéda subitement juste après l’achat des souliers rouges, et à l’époque les familles Saint-Pierroises portaient un deuil strict.
Toute la famille fut donc habillée de noir ou de couleurs sombres, pendant 6 mois, en signe de respect pour la défunte.
La période du deuil passée, Isabelle pu enfin reporter ses souliers rouges, alors interdits pendant toute la période de deuil… mais le pied avait déjà grandi et les souliers rouges jamais mis. Depuis cette date et maintenant âgée de 63 ans… elle ne racheta jamais de souliers rouges.
Propos recueillis chez une famille du Kerdavid
Les prénoms bretons
Depuis 1539 et l’obligation de l’emploi de la langue française dans tous les actes de la vie, les ecclésiastiques ont inscrit sur les registres paroissiaux, les actes de baptême, en français, alors que leurs ouailles parlaient breton ! De même, ils ne reconnaissaient que les Saints reconnus par l’Église. Ainsi les nouveau-nés s’appellent tout bonnement : Jean, Françoise, Yves, Noël, et pourtant Dieu sait qu’il y a de très nombreux Saints en Bretagne, mais Rome ne les reconnaît pas !
Les Républiques et les Empires feront de même pour les actes de naissances.
Yann, Soazig, Erwan, Nolwenn, des prénoms qui sentent bon l’Argoat et l’Armor et pourtant il faudra attendre 1966 pour que les parents puissent avoir vraiment le droit de prénommer leur enfant Yann, Soazig, Erwan, Nolwenn.
Ce fût le combat d’une famille de Moëlan-sur-Mer qui a livré une longue bataille judiciaire. Entre 1946 et 1955, elle parvient à faire admette à l’état civil des prénoms bretons de leur six premiers enfants. En 1956, nait leur septième enfant, changement d’attitude, l’état civil refuse d’inscrire le bébé sur le registre des naissances. Donc l’enfant n’a pas d’existence légale ! Le combat durera jusqu’en 1966 date à laquelle un tribunal leur rendra justice.
Mais le combat continue… en 2017 à nouveau l’état civil refuse le prénom « Faňch » parce que l’orthographe comprend un signe diacritique non reconnu par la langue française, même combat pour le prénom « Derc’hen » et le signe c’h.
Pourtant depuis 2017, la loi permet de changer son prénom français contre un prénom breton il suffit de déposer un dossier à la mairie du lieu de résidence ou du lieu de naissance et d’y expliquer les raisons du changement de prénom.
Jean Louis Guého
Les cabines de plages
Les cabines de plage, c’est le père CONUS qui montait les cabines sur la plage de Kermahé, probablement jusque dans les années 80. Il avait abandonné parce que c’était vandalisé.
Certains avaient leurs propres cabines.
Pierre Conus tenait la quincaillerie qui était situé à la place actuelle du cabinet du docteur Morandi. Avant la quincaillerie c’était une pension de famille “Les Jumelles”
Michèle Madec
Mai 2023
Saint Pierre sous le "régime de VICHY"
Une femme est nommée au nouveau Conseil Municipal
Le 12 octobre 1940, les conseils généraux sont suspendus, leurs pouvoirs transférés aux préfets qui peuvent suspendre les conseils municipaux et nommer les maires. En avril 1941, les préfets régionaux sont chargés du ravitaillement et du maintien de l’ordre.
A Saint Pierre, en 1941, le préfet du Morbihan, Paul GRIMAUD “nomme” un nouveau conseil municipal le 31 mars qui se compose de membres du précédent conseil :
- Pierre JOSSE [Maire] – Ernest LORHO – Jean GUILLAUME – Aimé RIO – Le LOIREC – DUVAL – MARIAGE – Julien GUÉHO – Louis JOURDAN – LANOÉ – Le PORT – KERSERHO, auquel il adjoint six nouveau conseillers dont la première femme: Mme veuve GROUHEL et MM. Joseph Le MAUGUEN – Hyppolite RIO – Louis BEAUVALLET – Léon CORITON – Pierre Le GUENNEC.
En 1942 viendront s’adjoindre M. Achille EGLIN remplaçant M. Louis JOURDAN qui est décédé.
Ce conseil restera en place jusqu’au élection de 1945.
Pontivy à Portivy déja en 1886...
Etonnant cet article de 1886. Quand je suis arrivée à Pontivy en 1986, peu de collègues Pontivyens semblaient attirés par la mer. Surprise! lors de mon installation en 2006 à St Pierre ….Ce n’était donc pas nouveau…Merci Joël (Le Nouën) d’avoir déniché cet article
Florence Le Moal Beaud
L'abri du marin de Portivy suite...
Vous aurez remarqué un détail …la faucille et le marteau en bonne place dans l’abri du marin
A gauche de la photo, Louis Demée ancien maitre principal dans la marine nationale. Pour l’anecdote, retraité, il faisait partie de l’équipage de la “Julia Janine” bateau de monsieur Lienard, l’autre “matelot” était Maurice Erbrech, retraité de la SNCF. Louis était donc appelé à bord”le fayot”, Maurice “le cheminot”.
Anecdote de Daniel Guimont (commentaire sur notre page Facebook )
Avril 2023
Le moulin de Kerbourgnec
Vous connaissez tous les alignements de Kerbourgnec, dits aussi les alignements du moulin. Les cartes postales anciennes avec les menhirs et le moulin sont nombreuses. Si les menhirs datent de l’époque néolithique, le moulin, lui, est beaucoup plus récent.
Il a été construit et exploité par Abraham JOURDAN (1796-1877) fils de Jean Baptiste JOURDAN ancien fermier du roi établi à Port d’Orange. Il a été repris ensuite par son neveu, Jacques Louis JOURDAN (1820-1857).
Propos recueillis par JC Martin auprès de Pierre Gouesin
Puits de KER MARIE
Ce puits parait assez ancien, datant vraisemblablement de la construction de la maison. C’est un puits à boule. Autrefois, le nombre de boules sur un puits permettait d’indiquer le nombre de foyers qui pouvaient y prendre de l’eau. Dans le cas de KerMarie seule la famille y habitant y avait accès.
Jean-Louis Guého – Dominique Hillion
Puits à pyramide disparu
A l’occasion de la découverte du puits de Ker Marie, savez-vous qu’il y a eu à proximité un puits à pyramide, typique de la presqu’île, au début du siècle dernier, sur la place rue du général de GAULLE, début de la rue du Dr Le GALL ?
L’emplacement de ce puits disparu a été retrouvé dans les années 1990/2000 lors de travaux de voiries
Jean-Louis Guého -Gaêl Le Bourgès
Mars 2023
Le carnaval en 1947
Après la 2eme Guerre Mondiale les St Pierrois ont envie de se changer les idées. Jo Le Bourgès, M. Potevin, et d’autres St Pierrois s’unissent lors du carnaval de St Pierre en 1947. Les bricoleurs se sont retrouvés derrière le café des 4 km de Mme Armande Le Bourgès, la mère de Jo (qui a perdu son mari résistant fusillé par les allemands en 1944. elle porta le deuil tout le reste de sa vie de 1944 à 1970….) . Armande reprit le café des 4 km après la guerre. Ce char orné d’un énorme dolmen construit en grillage et en papier mâché, avait fière allure ! La charrette qui servait de support au dolmen, fut ensuite tirée par un cheval dans les rues de St Pierre, pour la plus grande joie de tous.
Souvenirs de Jo Le Bourgès (à droite sur les 2 photos)
Carnaval 1960
Mon père Maurice Périon (du garage Périon) lorsqu’il était conseiller municipal était au comité des fêtes et pour le Mardi-Gras ma grand-mère a fait 250 costumes, je crois, elle n’arrêtait pas de faire des costumes parce que j’en ai essayé quelques-uns, elle testait sur moi.
Sur la photo Maurice Périon en bonhomme Michelin
Souvenirs de Soizic Périon
Le diabolo
Image surprenante datant du début du siècle dernier de 2 jeunes Saint Pierroises jouant au diabolo, un jeu qui a été réintroduit en France en 1850 en provenance d’Italie. Initialement il s’appelait le « diable », le mot « diabolo » n’a été inventé qu’en 1906 par Charles Burgess FRY à partir du verbe grec « diabàllo » qui signifie « lancer à travers » et qui joue de la similitude avec le mot « diable ».
C’est un jeu qui peut se jouer seul ou à plusieurs. La toupie double était initialement en bois, puis à partir des années 1950 en caoutchouc.
La photo a été prise dans la cour de la maison « Ty Izel » qui se trouve rue Marthe Delpirou et appartenant à Pierre GOUESIN. Il semblerait qu’il s’agisse de ses grands-tantes. 100 ans après le diabolo existe toujours (voir photo), le petit trou permettait de faire du bruit avec l’air qui passait (origine de « boucan du diable)
Propos recueillis par JC Martin auprès de Pierre Gouesin
Février 2023
Souvenons-nous… des FFI à Saint Pierre
Au café d’Armande PLUNIAN/Le BOURGÉS « les 4 km »
Armande en noir porte le deuil de son mari fusillé – JO Le BOURGÉS (14ans) avec la chienne Diane
La « poche » de Lorient se ferme le 10 août 1944 jusqu’au 10 mai 1945 englobant la presqu’Ile. Les Forces Françaises de l’Intérieur, les FFI, créées le 1er juin 1944, groupes militaires combattants prirent possession du Fort Penthièvre.
Ce groupe important de résistants, se rendait au café de Mme Armande Le Bourgés pour boire un verre. JO, le fils d’Armande se souvient qu’ils étaient jusqu’à une centaine, allongés dans le terrain à côté du café[1]. Sur cette rare photo prise en 1945 les FFI sont en tenue sombre et béret.
Merci de nous signaler si vous reconnaissez des personnes.
[1] Aujourd’hui à la place du terrain il y a des garages.
Hiver rigoureux 1962-63
On nous parle d’un hiver froid parce que les températures sont basses, mais qui se souvient de l’hiver 1962-1963 avec la baie en partie gelée. N’hésitez pas à nous faire part de vos souvenirs de cette époque, et à partager vos images si vous en avez
Jean-Claude Martin
Hiver rigoureux 1986
L’hiver 1962-1963 a été rigoureux, mais celui de 1986 l’a été également.
Le 30 janvier 1986 une tempête de neige hors du commun a paralysé la France. Cette vague de froid a pris fin le 28 février une journée au cours de laquelle de très fortes chutes de neige ont affecté le nord de la France et la Bretagne (75 blessés en 8h à l’hôpital de Lorient)
Photo prise à l’ENV (souvenirs de Jo Le Bourgés), autres photos Jean-Louis Guého
Janvier 2023
Trouvailles dans la falaise
Lors de la construction d’une maison dans la “falaise” à Renaron, en 1968, il a été trouvé par M. Le GUENNEC, de la ferme de port blanc, dans l’excavation creusée au nord/ouest de sa ferme des fragments d’amphore et de dolium (céramique) rouge ainsi que des fragments de poteries.
Le site a été fouillé par M. Gildas BERNIER qui en a conclu qu’il a existé à cette emplacement un établissement gaulois à Renaron datant de l’époque de la Tène III, entre -150 et -30 avant J.C.
Source : Gildas BERNIER – annales de bretagne, tome lxxv, 1968, pp.149-152.
Le cheval du corbillard était un fidèle catholique !
Une personne de Portivy ayant entendu la charrette de l’Ankou et qui ne voulait pas de cérémonie religieuse avait demandé que le corbillard ne passe pas devant le calvaire de Roch en Aud et prenne le chemin par la gare pour se rendre au cimetière.
Le cheval qui tirait le corbillard, dans la côte avant le passage à niveau se dirigea tout naturellement vers “le Roch”. On dû le retenir pour l’obliger à prendre le chemin souhaité par le défunt.
Légende ou réalité ?
Jean-Louis Guého
Mariage d'enfants
Nous sommes à la recherche d’informations sur cette photo , merci de nous contacter sur Facebook KER1856 ou par mail : contact.ker1856@gmail.com