Merci beaucoup pour ces commentaires et pour les informations complémentaires données au téléphone
Nous utiliserons toutes ces informations dans le cadre d'un futur entretien avec vous et votre mère.
Quelques précisions sur les personnes sur le thonier A310.
Sur la photo de l’intérieur, le deuxième en partant de la droite est Louis Bourgueil. Son père était tourangeau comme son nom le laisse penser.
Il s’est installé en Bretagne à Auray comme électricien. Après Auray, il s’installe donc à Penthièvre pour tenir ce bar – glacier – restaurant de 1934 à 1952.
Ensuite, après un court passage à Quéven, il retourne dans la presqu’île où il se lance dans le gardiennage de bateaux et caravanes.
Du milieu des années 50 au milieu des années 60 à « la distillerie » (site de l’actuel centre culturel) ;
Puis au Roch (terrain démembré ensuite : maison du docteur Pignon, ensemble résidentiel, maison construit par Louis Bourgueil).
Sur le pont figure :
- deuxième à gauche, casquette en l’air, mon père, René Tanguy, futur époux de la fille aînée de Louis Bourgueil. Il a passé sa retraite entre Vannes et Saint-Pierre-Quiberon,
- troisième à gauche, Yves Le Pezron, natif du Trégor, qui fut pâtissier à Auray et président des anciens combattant section d’Auray, sa fille Marie a épousé Louis Bourgueil.
Quelques précisions sur la thonier A310.
Le Notre-Dame-de-la-Garde a été construit en 1908 aux Sables d’Olonne pour Pierre Bonnec de l’Ile de Groix pour la pêche au thon.
De 1918 à 1921, il est utilisé pour du cabotage dans le secteur Saint-Malo Cancale (ventes en 1918 et 1919),
Le thonier revient dans le Morbihan en 1921 à Etel pour sa destination d’origine.
Le 15 novembre 1934, il est racheté par mes grands-parents Louis et Marie Bourgueil pour servir d’annexe à leur bar-glacier- restaurant d’huîtres « Entre deux mers » situé à Penthièvre, à M Jean Vincent Formal.
Remarqué d’Etel à la baie, il a été tiré à terre en mars 1935 (force humaine, palans, treuil et verrin).
De 1935 à 1952 il a servi de restaurant ainsi que de dancing.
En octobre 1952, l’affaire a été cédée à M Mme Perperot de Quiberon.
Petite anecdote sur l'histoire !!!
C'est la fête pour la réouverture de notre eglise qui m' y fait penser : le premier office dans la "nouvelle église" fut , en 1937 ?, les obsèques de ma grand mère Marie Rufine Mariage née Le Cam ,clin d'oeil de l'histoire elle était la soeur de l'arrière-grand mère de Gaël Le Bourgès.
bonjour, je m'appelle Renée le Baron (épouse Bukay) je suis la sœur de François ,je suis bien contente
que la maisonnette 473 va servir au jeune boulanger de Du pain sur la planche,je lui souhaite le meilleur.
Douces pensées à maman
Mme Bukay Renée
Je m'en rappelle d'aller chez mamie et jouer sur la fameuse haie le long du chemin de fer ,on montait dessus avec mes cousines et faisions semblant d'être sur un train également .
Ou jouer au légo dans la guérite en attendant le train.
Bisous à mamie 😍
Daniel
Bonjour ,
Pour information nous y avons habiter de 1997 jusqu'en 2012.
Nous cultivons le terrain derrière la ligne de chemin de fer , c'était le terrain de Monsieur Simon autrefois.
Oui en effet, à Portivy, dos à la mer, à gauche du mareyeur Le Chat, il y a une crêperie. A sa gauche, dans la maison mitoyenne aux volets verts, il y avait une presse, d'après ce que j'ai entendu dire.
Il y avait sans doute aussi une activité de presse à Kerhostin ?
... car en haut de la plage du village de Kerhostin, il y a la falaise au dessus du douet qui se nomme "la presse".
Bonjour,
Dans mon enfance, en vacances chez ma grand-mère à Kergroix, le drapeau du village était préparé début septembre pour le "pardon" il était gardé, démonté, par une famille toute l'année. Il fallait recoudre notamment tous les rubans accumulés année après année...Chaque ruban avait été offert par une famille du village à chaque nouvelle naissance. S'en suivait des discussions pour savoir qui allait porter le drapeau; je garde le souvenir de ce que je vivais comme une inquiétude partagée chez les adultes...Car il fallait que celui qui serait volontaire sache saluer le Port et ses bateaux d'un ample mouvement formant le chiffre 8 à l'horizontal de gauche à droite ou inversement et ramener le mat du drapeau dans sa hauteur de départ...Et cela avec aisance... la beauté du mouvement me marquait et j'étais fier de notre voisin. Les commentaires rassurants et élogieux pour le porteur et ses deux aides qui tenaient les cordes latérales de sécurité du drapeau pendant le parcours et le salut, ne manquaient pas les lendemains dans Kergroix .
Bonjour,
Merci pour ces informations très intéressantes,
Juste une question : L' ancienne distillerie à l'emplacement du centre culturel de St Pierre servait elle également a distiller de l'iode et a t'elle remplacée celle du port d'Orange ??
Merci par avance.
Joël Le Nouen
Commentaire posté par Florence Beaud sur l’article « Entre deux mers »
Posté le 27/09/2022 16:20
Merci beaucoup pour ces commentaires et pour les informations complémentaires données au téléphone Nous utiliserons toutes ces informations dans le cadre d'un futur entretien avec vous et votre mère.
Commentaire posté par Joël TANGUY sur l’article « Entre deux mers »
Posté le 26/09/2022 16:48
Quelques précisions sur les personnes sur le thonier A310. Sur la photo de l’intérieur, le deuxième en partant de la droite est Louis Bourgueil. Son père était tourangeau comme son nom le laisse penser. Il s’est installé en Bretagne à Auray comme électricien. Après Auray, il s’installe donc à Penthièvre pour tenir ce bar – glacier – restaurant de 1934 à 1952. Ensuite, après un court passage à Quéven, il retourne dans la presqu’île où il se lance dans le gardiennage de bateaux et caravanes. Du milieu des années 50 au milieu des années 60 à « la distillerie » (site de l’actuel centre culturel) ; Puis au Roch (terrain démembré ensuite : maison du docteur Pignon, ensemble résidentiel, maison construit par Louis Bourgueil). Sur le pont figure : - deuxième à gauche, casquette en l’air, mon père, René Tanguy, futur époux de la fille aînée de Louis Bourgueil. Il a passé sa retraite entre Vannes et Saint-Pierre-Quiberon, - troisième à gauche, Yves Le Pezron, natif du Trégor, qui fut pâtissier à Auray et président des anciens combattant section d’Auray, sa fille Marie a épousé Louis Bourgueil.
Commentaire posté par Joël TANGUY sur l’article « Entre deux mers »
Posté le 24/09/2022 16:56
Quelques précisions sur la thonier A310. Le Notre-Dame-de-la-Garde a été construit en 1908 aux Sables d’Olonne pour Pierre Bonnec de l’Ile de Groix pour la pêche au thon. De 1918 à 1921, il est utilisé pour du cabotage dans le secteur Saint-Malo Cancale (ventes en 1918 et 1919), Le thonier revient dans le Morbihan en 1921 à Etel pour sa destination d’origine. Le 15 novembre 1934, il est racheté par mes grands-parents Louis et Marie Bourgueil pour servir d’annexe à leur bar-glacier- restaurant d’huîtres « Entre deux mers » situé à Penthièvre, à M Jean Vincent Formal. Remarqué d’Etel à la baie, il a été tiré à terre en mars 1935 (force humaine, palans, treuil et verrin). De 1935 à 1952 il a servi de restaurant ainsi que de dancing. En octobre 1952, l’affaire a été cédée à M Mme Perperot de Quiberon.
Commentaire posté par porte bernard sur l’article La série de KER1856 « En remontant le temps »
Posté le 28/06/2022 11:07
Petite anecdote sur l'histoire !!! C'est la fête pour la réouverture de notre eglise qui m' y fait penser : le premier office dans la "nouvelle église" fut , en 1937 ?, les obsèques de ma grand mère Marie Rufine Mariage née Le Cam ,clin d'oeil de l'histoire elle était la soeur de l'arrière-grand mère de Gaël Le Bourgès.
Commentaire posté par renée bukay sur l’article François Le Baron fils de Joséphine Simon garde-barrière au Roch
Posté le 11/06/2022 13:27
bonjour, je m'appelle Renée le Baron (épouse Bukay) je suis la sœur de François ,je suis bien contente que la maisonnette 473 va servir au jeune boulanger de Du pain sur la planche,je lui souhaite le meilleur. Douces pensées à maman Mme Bukay Renée
Commentaire posté par Robin daniel sur l’article François Le Baron fils de Joséphine Simon garde-barrière au Roch
Posté le 10/06/2022 16:07
Je m'en rappelle d'aller chez mamie et jouer sur la fameuse haie le long du chemin de fer ,on montait dessus avec mes cousines et faisions semblant d'être sur un train également . Ou jouer au légo dans la guérite en attendant le train. Bisous à mamie 😍 Daniel
Commentaire posté par Stoquert sur l’article François Le Baron fils de Joséphine Simon garde-barrière au Roch
Posté le 03/06/2022 13:02
Bonjour , Pour information nous y avons habiter de 1997 jusqu'en 2012. Nous cultivons le terrain derrière la ligne de chemin de fer , c'était le terrain de Monsieur Simon autrefois.
Commentaire posté par LE LAN Yves sur l’article Jo Le Bourgès raconte la vie de sa mère
Posté le 14/03/2022 15:00
Retour en arrière fort agréable. Ca m'a rappelé ma jeunesse. Bravo. Yves LE LAN
Commentaire posté par Signoret Alice sur l’article Les presses à sardines
Posté le 06/02/2022 19:48
Oui en effet, à Portivy, dos à la mer, à gauche du mareyeur Le Chat, il y a une crêperie. A sa gauche, dans la maison mitoyenne aux volets verts, il y avait une presse, d'après ce que j'ai entendu dire. Il y avait sans doute aussi une activité de presse à Kerhostin ? ... car en haut de la plage du village de Kerhostin, il y a la falaise au dessus du douet qui se nomme "la presse".
Commentaire posté par BUSSEUIL Pierrick sur l’article Le PARDON de NOTRE-DAME de LOTIVY
Posté le 21/09/2021 16:31
Bonjour, Dans mon enfance, en vacances chez ma grand-mère à Kergroix, le drapeau du village était préparé début septembre pour le "pardon" il était gardé, démonté, par une famille toute l'année. Il fallait recoudre notamment tous les rubans accumulés année après année...Chaque ruban avait été offert par une famille du village à chaque nouvelle naissance. S'en suivait des discussions pour savoir qui allait porter le drapeau; je garde le souvenir de ce que je vivais comme une inquiétude partagée chez les adultes...Car il fallait que celui qui serait volontaire sache saluer le Port et ses bateaux d'un ample mouvement formant le chiffre 8 à l'horizontal de gauche à droite ou inversement et ramener le mat du drapeau dans sa hauteur de départ...Et cela avec aisance... la beauté du mouvement me marquait et j'étais fier de notre voisin. Les commentaires rassurants et élogieux pour le porteur et ses deux aides qui tenaient les cordes latérales de sécurité du drapeau pendant le parcours et le salut, ne manquaient pas les lendemains dans Kergroix .
Commentaire posté par Le Nouen Joël sur l’article L’usine d’iode article du télégramme
Posté le 05/06/2021 16:57
Bonjour, Merci pour ces informations très intéressantes, Juste une question : L' ancienne distillerie à l'emplacement du centre culturel de St Pierre servait elle également a distiller de l'iode et a t'elle remplacée celle du port d'Orange ?? Merci par avance. Joël Le Nouen